J'ai posé mes valises le : 15/05/2015 Mon avatar est signé : tearsflight. et j'ai posté un total de : 158 Sinon, on m'appelle : burning bruise.
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Sujet: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 12:36
Caleb James Hartley
se fait appeler james et habite à savannah, usa - a fêté ses 30 ans le 20.11 - est né à new york, usa - est hétéro et célibataire, enfin bientôt divorcé - au quotidien, est professeur de psychologie et photographe à ses heures perdues - se décrit charismatique, romantique, cultivé, mais aussi secret, lunatique, jaloux.
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bois beaucoup trop de café, alors qu'il est déjà stressé de nature. ✵ adore les animaux, il en a toujours eu. en ce moment il vit avec son chat, olafe, officiellement baptisé par sa petite nièce. ✵ c'est un passionné de musique, son grand rêve serait de monter un label. mais pour l'instant, il se contente de la photographie comme passe temps. ✵ les parents hartley sont riches, et très occupés par leur travail. Ils les ont souvent laissé seuls lorsqu'ils étaient jeunes. Papa hartley a un grand cabinet d'avocat à New York, et leur mère possède une chaîne de magasins de vêtement en Angleterre.
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(f) exs - avant ses vingt cinq ans. (m) meilleurs amis - james a une confiance inébranlable en eux. (f) meilleurs amis - james a une confiance inébranlable en eux. (f) folle furieuse - james approche de la trentaine, ce qui lui fait parfois un peu peur. elle lui fait retrouver une nouvelle jeunesse, débarquant à n'importe quelle heure chez lui pour boire un coup, et le plus souvent le traîner de force en boîte pour aller boire des shoots de tequila. malgré l'opposition qu'il émet parfois, il sait qu'il part perdant, puis faut dire, qu'il s'amuse bien.
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C. James Hartley
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 12:36
màthylne sherlyn hokkings
compliqué
Tout remonte à l'été dernier. James venait d'emménager à Savannah, fuyant sa presque ex-femme. Il avait accepté le poste vacant de professeur de psychologie à l'université. En attendant de débuter l'année scolaire, il avait continuer un de ses passe temps favoris, la photographie. Il avait été engagé par une boutique de vêtements pour faire la promotion de leur nouvelle ligne. Et c'est là qu'il la vue. Elle était sublime, certainement la plus belle femme qu'il n'avait jamais vu. Il passa trois jours à la photographier sous toutes les coutures dans divers paysages, et avec beaucoup de courage, lui avait proposé d'aller boire un verre le dernier soir. Elle accepta, bien évidement, elle n'attendait que ça.. Ils passèrent un été dès plus formidables. Le feeling passait tellement bien entre eux. Ils restèrent cloîtré dans le nouvel appartement de James, s’habillant que quand c'était absolument nécessaire. Mais la réalité les rattrapa bien vite, et l'année scolaire débuta. Et ce fut avec effarement que le jour de la rentré, James se rendit compte qu'elle faisait parti de ses élèves. Comment n'avait il pas pu aborder ce sujet pendant ses dernières semaines ? Il ne savait même pas qu'elle était encore étudiante. Ils n'ont d'autre choix que d'arrêter leur relation. Elle pourrait se faire virer de la fac, et lui pourrait perdre son emploi, et même son divorce, ça serait une occasion en or pour sa taré d'ex-femme de faire pencher la balance en sa faveur.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Sujet: Re: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 12:46
je veux bien un lien
& j'aime énormément ton titre of calvis harris
C. James Hartley
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 13:00
paul ** avec plaisir ! une p'tite idée/envie ?
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 13:10
du positif bien sûr que je veuuux.
C. James Hartley
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 19:04
on est un peu près dans les mêmes âges. nath est déjà aller à new york ? et si tu peux me résumer un peu nath pour voir si j'ai un truc qui me vient.
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 20:19
Oui, c'est sûr. Après dans quelques voyages qu'il a effectué, pour faire des défilés/ou voir même pour des films, ça lui est déjà arrivé d'y aller.
Quelques points important dans son histoire. - né un 01 janvier en 1992. - dans le beau pays de l'Espagne. -Abandonné par sa mère. - élevé par mon père. - A l'école, j'étais un très bon élève. - A l'adolescence, j'étais invivable. - Un petit peu matcho, comme j'avais pleins de filles à disposition. - A la majorité, j'ai décidé de voler de mes propres ailes et construire ma propre vie. -je travaille en tant qu'acteur, mannequin et musicien.
C. James Hartley
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 20:47
j'ai une petite idée. james est également photographe. à new york, grâce aux influences de ses parents, surtout par sa mère qui possède une chaîne de magasin de vêtements anglais, il a décroché quelques jobs assez sympa. il aurait pu faire un shooting de toi pour une promo de film ou un truc du genre.
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 20:59
On peut se faire ça comme tel. J'aime beaucoup ton idée. Cela remonterait à combien de temps ?
C. James Hartley
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Sam 16 Mai - 23:08
pourquoi pas il y a quatre ans ? comme ça on peut dire que pendant deux/trois ans, ils se sont beaucoup vus, travaillant ensemble à chaque fois que nate venait à ny. à force, ils seraient devenu ami, allant boire des verres après le boulot. mais ne se serait pas revu depuis une année environ, et se serait recroisé dnas les rues de Savannah ?
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Dim 17 Mai - 0:43
Pourquoi pas, tiens. Oh ben moi tout cela me convient parfaitement. Ils se seraient recroisé, par hasard dans les rues de Savannah, mais leur amitié n'a guerre changé pour autant.
C. James Hartley
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Dim 17 Mai - 12:48
exactement. je te rajoute.
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Dim 17 Mai - 12:50
Je t'ajoute à ma fiche de liens.
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Mar 23 Juin - 14:45
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Mer 24 Juin - 21:26
Je viens quémander un petit lien
C. James Hartley
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Dim 28 Juin - 13:12
avec plaisir toutes les deux. des idées/envies ?
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Dim 28 Juin - 14:41
IAN = positif Je n'ai pas d'idée précise mais je fonce lire ta fichette
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Lun 29 Juin - 11:36
Du positif voyons
C. James Hartley
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Lun 29 Juin - 20:54
avec plaisir vous deux.
kah - tu pourrais me faire un p'tit résumé kahjaar ? j'aurais peut être une idée fulgurante.
nina - ah j'adore la photo. tu as un lien avec mia ? tu peux me décrire le caractère de la belle ?
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Ven 10 Juil - 18:32
Désolé de l'attente bien longue Pour l'histoire je crains ne pas avoir de résumé
Citation :
On dit souvent de moi que je suis à l'écoute dans les mauvais moment - Je suis têtue - Je sais ce que je veux dans la vie - Je suis assez caractérielle - Je suis quelqu'un de manipulateur, je porte ça pour une qualité - J'ai la fâcheuse tendance d'être attirées par les hommes plus vieux que moi - Je suis très studieuse - Je suis très (trop) dépensière - Je suis très souriante ! Je souris tellement qu'a la fin d la journée j'ai mal parfois - Je suis très curieuse, ce qui, à mon sens, est un défaut - Je suis assez ouverte sans être exubérante - Je fume comme un pompier ... - Je n'ai jamais touché à la drogue et pour moi l'alcool n'est pas une nécessité pour s'amuser - Mais c'est pas trop mal quand il y en a - Je suis la pote qui tiens les cheveux aux filles quand elles dégueulent dans les toilettes - Fut un temps ou j'étais hyper sensible, maintenant je crois que je n'ai pas chialé depuis trois ans - Je suis patiente - J'ai l'air froid au premier abord
Brennan S. Edison
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J'ai posé mes valises le : 11/07/2015 Mon avatar est signé : HEART ATTACK, tumblr. et j'ai posté un total de : 109 Sinon, on m'appelle : titi
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Dim 12 Juil - 18:15
J'me suis dit qu'il nous fallait un lien
C. James Hartley
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Lun 13 Juil - 2:00
kahjaar - j'avoue que rien ne me vient en tête. enfin peut être.. Elle est à Savannah depuis combien de temps ?
brennan - oui ça coule de source, et du négatif je pense.
Invité
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Sujet: Re: blame it on the night (james) Lun 13 Juil - 12:27
Depuis son enfance Et est-ce que le couple qu'il forme avec Mat est secret ?