Partie 1 : Me, My Myself, and I.
« Les choix qu'on fais c'est souvent ce qu'on est ce qu'on a ou ce qu'on aura plus car on mérite ni moins ni plus ».
Dans la vie, faut savoir faire des choix, des concessions et prendre des risques. La vie n'appartient pas aux lèves-tôt comme on le dit souvent, mais il appartient aux opportunistes. Le choix, j'ai dû le faire il y a 3 ans en m'éloignant de ma famille et affronter la vie universitaire. Mais Malheureusement les concessions et les risques, ce n'est pas mon fort. Je me présente, moi c'est Amaliya Joyce Garcia-Yung. Liya Pour les intimes et Amy pour les autres. J'ai 23 ans à l'heure où je vous parle. Fille Aînée de James Cory Garcia et de Layana Yung. Comme vous devez vous en douter en vue de mon nom si « exotique » j'ai des origines assez singulières. Mon père étant Afro-Americano-colombien et ma mère Laotienne-Italienne. Oui je représente la mondialisation à moi toute seule. Malgré tout, ma vie de famille et tout ce qu'il y a de plus banal mais c'est ce que j'ai de plus précieux. J'ai toujours été très bien entouré que ce sois par la famille ou les amis, car sans me vanter on peut dire qu'on est pas mal au niveau du nombre, on pourrait remplir le Madison square Garden ! ... Non j'abuse un peu là mais c'est pour vous dire à qu'elle point on est nombreux.
Comme vous avez pu le remarquer je suis assez fo-folle mais seulement lorsque je connais bien la personne, lorsque je ne connais pas, je peux donner des airs d'être froid et distant avec les autres. Je ne donne pas ma confiance facilement et je suis assez septique vis-à-vis de la sincérité des personnes. Mais croyez-moi, Lorsque je vous dis que ma confiance et sans faille et qu'elle est doublé d'une solidarité à toute épreuve quand les personnes me deviennent proches, c'est totalement vrai. J'aime et j'ai toujours aimé rire. Vous me direz, qui n'aime pas ça! Mais pour moi le rire est un grand point dans la vie d'une personne qui mérite d'être noté, sans rire, la vie n'est plus. Je suis aussi une personne qui préfère toujours agir plutôt que parler, trouvant cela trop inutile dans certains cas. Je ne suis pas du genre à parler des sentiments de manière incroyable et de trouver ça tout beau. Non. C'est pas mon truc. Si j'apprécie une personne je le lui prouverai du mieux que je peux mais j'aurai toujours du mal à en parler. Je suis plutôt du genre indécise et lente à la détente, faire des choix ce n'est pas mon truc et je me laisse souvent influencer par mes proches. Au moins de cette manière là si ça ne marche pas je pourrais dire que ce n'est pas de ma faute c'est de la leur. Je ne comprends pas tout, tout de suite surtout quand elles sont sous-entendus ce qui peut créer des situations drôles pour les autres... malgré moi. J'ai le don de me mettre dans l'embarras mais, cela m'arrive un peu moins maintenant. Je peux être assez vulgaire dans mes propos mais, ce n'est pas de ma faute c'est surtout à cause des discutions masculine que je supportais durant toute ma scolarité étant donnée que la majeur partie de mes amis étaient du sexe opposé. Ce qui m'obligeait sans cesse à défendre la cause des femmes et leur respect dans le monde de misogyne dans lequel je baignais. Ce qui a fait de moi une petite féministe, Je défends juste ce que je pense être vrai et dit ce que je pense être une erreur. Malgré les apparences je suis une personne assez timide, discrète et même si je ne le montre pas je peux être effrayée par beaucoup de choses. Je suis plutôt maligne et un peu intelligente aussi, juste assez pour avoir été prise dans la célèbre Université d'Harvard grâce à mes notes et pouvoir obtenir un droit à la bourse pour intégrer l'école malgré les difficultés financières de ma famille. Comme je disais je suis une élève studieuse et sérieuse, mais ça n'a pas toujours été le cas. Le déclic ce fit lors de mon doublement en 6th Grade (équivalent de la 6eme en France). À ce moment là je me suis promise que cela ne m'arriverait plus jamais. Parce que si en plus d'être entré à l'école maternelle tard (J'ai fais mon entré à 4ans au lieu de 3 à cause de problème de santé) il fallait que je redouble je ne serait pas sorti de l'auberge de sitôt. Et c'est en pensant de la sorte que la petite fille dissipée que j'étais se changea en élève modèle.
Enfin bref, revenons à aujourd’hui. Comme je le disais précédemment, j'ai été accepté à Harvard et y ait passé les trois première années de mon cursus universitaire avant de le quitte car je n'appréciais plus l'atmosphère de l'endroit et surtout pour retrouver ma famille qui était loin de moi.
Côté affectif je suis en couple. Malgré que je pense être mieux sans qu'avec. Comme toutes personnes j'ai eu des mauvaises relations, des bonnes qui se finissaient par un commun accord et des bonnes que j'ai détruites moi-même ou inversement. Mais ces conneries je regrette de les avoir commise, et la preuve en est maintenant. Enfin bon. Je vous le dis tout de suite étant donné que nous en sommes à ce sujet je ne crois pas aux coups de foudre, pour moi, c'est une machination que les femmes ont inventées pour se permettre de croire qu'il existe quelque part sur Terre l'homme de leur rêve. L'histoire de mes parents en ai la preuve car, s'il n'y avait pas été forcé de cohabiter jamais ils ne se seraient intéressés à l'autre alors qu'à l'heure d'aujourd'hui ils sont inséparables. Non le véritable amour ce construit mesdames ! Et cela sur des bases plates ! Enfin bon je ne suis pas là pour débattre. Pour mieux comprendre ce que je dis je me dois de vous conter la fabuleuse histoire de Layana et James. Plus sérieusement, je pense que je vais un peu vous ennuyez avec l'histoire de mes parents, mais elle en vaut le coup et forme un peu la mienne.
Partie 2 : Une rencontre bouleversante.
« I love the way you lie ».
Malgré tout ce qu'on pourrait penser, ces deux-là ne se sont pas rencontrés sur une plage de sable fin sous un coucher de soleil magnifique avec les petits oiseaux de Cendrillon chantant de doux airs mélodieux pour illustrer ce paysage paradisiaque dans un de leurs pays respectifs. Non, loin de là. En réalité, mes parents sont tous les deux des immigrés américains. Bien que mon père ait des origines américaines mon grand-père n'ayant pas eu le temps de le déclarer avant qu'il ne meure (R. I. P) il n'a pas pu avoir la nationalité. Et ayant passé toute son enfance en Colombie il visualisait l'Amérique tel un rêve ultime, une sorte de paradis sur Terre. Le célèbre « Rêve américain », moi je dirais plutôt l'arnaque à l'américaine, mais enfin bon, chacun son point de vue. À l'âge de 27 ans il décida de suivre un groupe d'amis venu d'un peu partout de l'Amérique du sud qui avaient décidé de passer la barrière qui les séparait de leur rêve ultime. Malheureusement pas tous eurent la chance de pouvoir y parvenir. Un grand nombre d'entre eux furent rameuté dans leurs pays d'origine. Mais mon père, a eu le réflexe de commencer à grimper lorsque les gendarmes sont allés chercher les autres. En le voyant faire, certains d'entre eux eurent la même initiative, tel que tonton Manuel ; le meilleur ami de mon père. Je peux vous dire qu'il a encore à l'heure d'aujourd'hui des traces des douleurs qu'il s'est infligé à lui-même ce jour-là et nous le rappel à chaque fois tout ce qu'il a dû faire pour pouvoir vivre son rêve. Enfin bref, Après cela ils marchèrent pendant plusieurs jours dans le désert avec le peu de ressource qu'ils leurs restaient au bout d'un certain temps ils furent retrouvés et emmenés dans un camp pour clandestin et c'est la qu'il rencontra ma « môman ». Son histoire à elle n'est pas aussi farfelue que celle de mon père, mais elle n'est pas mauvaise. Elle vivait en alternance entre Vienne chez sa mère et Vientiane chez son père tout deux divorcés après 22 ans de mariage elle a eu une vie plutôt paisible, un confort moyen car mes grands-parents ont toujours tout fait pour que ma mère ne manque de rien. Mais un jour prise par un excès de fatigue de cette vie terne & monotone elle décida sur un coup de tête de quitter L'Eurasie pour un endroit où apparemment toutes les folies sont possibles : les États-Unis. Mais madame n'avait pas pensée qu'on devait avant toute chose faire la célèbre carte verte avant de pouvoir résider aux états-unis de manière définitive. Et dès la visite des douanes elle fut arrêtée et emmenée à cet endroit qu'est ce camp des clandestins en attendant la réponse et son autorisation de résider aux états-unis. Car après vérification elle put rester pour faire sa demande. On pourrait croire que lorsqu'ils se virent ce fut le coup de foudre, qu'ils tombèrent éperdument amoureux l'un de l'autre et touticointi, mais non, cela ne ce passa pas comme ça encore une fois. Ce serait mal connaître mes parents. Non ils ne se parlèrent même pas une fois durant la quasi-totalité de leur séjour là-bas. Le moment où tout ce fit fut lorsque mon père fut pris pour être rapatrier chez lui. Le voyant si suppliant et désarmer devant les forces de l'ordre ma mère ne put supporter cela et ce leva prétextant qu'il était avec elle et que c'était son époux. Bien sûr vous vous doutez qu'il ne l'ait pas cru, mais je vous jure que s'il y a bien une personne sur Terre sachant embrouiller l'esprit et mentir encore mieux qu'un bourreau ou un arracheur de dent hargneux et aigris c'est bien ma mère ! Sans oublier cet art de la comédie qu'elle détient en elle. Je pense que cela vient de son côté italien. Elle lui a sorti une histoire sans queue ni tête, comme quoi ils avaient oublié ses papiers et qu'il a dû user de moyen illicite pour pouvoir venir,car, personne aurait cru à son histoire comme le douanier à cet instant. Elle lui dit tant de choses qu'au final le douanier ne pouvait que croire ce que disait cette pauvre dame à l'air apeurée perdue et désarmée... quelle sacrée comédienne ! Enfin bon, mon père fini par rester dans le camp et donc dans le pays, grâce à des contacts qu'avais ma mère en Europe elle put lui faire de faux papier et un faux acte de mariages etc. En un temps record ! Il put faire lui aussi une demande de carte verte à la suite de cela. Celle de ma mère fut acceptée assez rapidement, mais pour tenir la route de leur histoire elle devait attendre que celle de mon père vienne aussi. Il l'eut une dizaine de jours plus tard, à leurs sortis l'administration leur expliqua qu'elle trouvait leur histoire louche et que pour les mois venant il ferait venir un intervenant pour vérifier l'authenticité de leur sois disant « relation ». Ma mère regretta l'acte généreux qu'elle avait fait maintenant. Car cela voulait donc dire que pour pouvoir vivre sa vie pleinement elle devait cohabiter avec un inconnu ? ! Mais elle trouvait ça totalement indigne ! Imaginez une seconde que cet homme soit un fou allié ! Elle ne comptait pas prendre ce risque. Elle prévoyait de s'en aller mais c'était sans compter sur l'entêtement incroyable qu'avais mon père. Il l'a harcela jusqu'à ce qu'elle accepte de cohabiter. Mais après tout c'est compréhensible il ne voulait pas retourner à zéro alors qu'il avait gagné le respect et touchait son rêve du doigt. Alors, elle lui imposa ses lois, chacun pouvait faire bon lui semble de sa vie cela ne regardait en aucun cas l'autre, ils devaient payer de manière égale les charges de l'appartement ou la maison qu'ils allaient trouver et pas de choix solitaire quand il s'agit des biens ou des situations communes. L'accord était fait. Ils trouvèrent un appartement, un T2 à Seattle ils se disent que pour commencer c'est pas mal et que surtout ils n'avaient pas encore de travail donc autant prendre dans le moins chère. Jusque là tout allait bien, ma mère dans la chambre mon père sur le canapé. Ils finirent par trouver un travail chacun, elle, femme de chambre et lui, agent de sécurité. Malgré qu'ils aient tout deux des diplômes. Mais ils se contentèrent de ce qu'on acceptait de leur donner dans ce nouveau monde. Ils se côtoyaient jour après jours après jours. Au début tout allaient pour le mieux pour eux, ils vivaient une très bonne colocation, chacun de son côté. Au fil du temps cela ce transforma en amitié mais vraiment une simple amitié banale, d'après l'histoire le premier à avoir succombé aurait été mon père, moi je pense plutôt que sa fierté l'empêche de réaliser qu'elle l'a aimée quasiment au même moment. Ah les femmes et leur vision de la réalité. Enfin ,je m’égare. De fil en aiguille leur comédie commençait à devenir réalité pour finir par un immense réel mariage qui réunit les deux familles au grand complet. La cérémonie leur coûta toute leur économie mais ils ne regrettent pas jusqu'à aujourd'hui. Quelques années plus tard, je fis mon entrée et bouleversa leur vie du bon côté. Je vis le jour un après-midi de novembre, enneigé mais chaleureux. Ma mère ne voulait pas donner naissance dans un hôpital de peur qu'on lui prenne tout le plaisir qu'elle pourrait ressentir d'accoucher pour la première fois. Alors, elle fit cela de manière sécurisée et surveillé à la maison. Étant fille unique à l'époque je peux vous dire que pour être gâté je l'étais, mais jamais pourri. Cela ils l'ont réservé à ce qui m'ont succédés.
Partie 3 : Un Frigo, un coeur, et des Couilles.
« You remember when I said if you ever need everything Daddy will be right there? Guess what ? Daddy's there ».
On a tous grandit avec tout l'amour possible malgré les périodes difficiles. Surtout à mon adolescence. Au bout du troisième enfant nous déménageâmes dans un T4 à Philadelphie. Mes parents se sont toujours donné du mal pour nous permettre d'avoir une bonne éducation et de bonne base social et culturel, mais je n'ai pas eu une enfance stricte non j'ai toujours eu une certaine liberté, mais toujours avec des limites à ne pas franchir. Ils ce sont toujours débrouillés pour qu'on puisse manger a notre faim tout ce que l'on voulait. Même si pour cela il fallait enchaîner deux à trois petits boulots. Il m'est donc parut logique et naturelle de les aider financièrement uen fois que j'avais atteint l'age minimum autorisé pour travailler. Ils étaient toujours présent pour nous et notre éducation. Toujours à l'écoute et souvent autoritaire pour notre bien. Ils ont toujours tout fait pour nous. Mes parents étant très ouvert ils m'incitaient à me faire des amies d'un peu partout, car d'après eux « la diversité et la plus belle chose qu'il puisse être, car elle réunit les cœurs assemble les âmes et permet à la curiosité d'apprendre » oui c'est assez bizarre comme phrase je l'avoue, mais croyez-moi après mure réflexion elle est très censée. Donc en ayant eu une éducation comme cela on ne peut pas dire que je sois quelqu'un de coincé mais malheureusement je peux le paraître.
Partie 5 : L'adolescence ; Une période ingrate.
« Reals Friends are sisters/Brother that Life forgive to give you ».
Vers la fin de mon adolescence je me suis comme qui dirait rebellée. Je m'étais un peu refermé sur moi-même, je traînais avec des gens peu fréquentables qui m'incitaient à faire des choses dont je suis peu fière d'aujourd'hui. Drogues, alcool & pensé néfaste était devenue mon quotidien, heureusement pour moi je n'ai jamais pu atteindre le sommet de la débouche ; perdre ma virginité pour de l'argent. J'ai honte d'en parler, mais il le faut bien si je dois vous expliquer ma vie. J'étais en manque ce jour-là, et mes parents se doutant que je me droguais mais n'ayant pas eut de preuve valable, ont cherché un prétexte pour me punir et ne plus me donner d'argent, qu'il trouvèrent facilement vu les diffèrent excès que j'avais en cours. Ne sachant plus quoi faire je demandais à une « amie » de l'époque Kourtney une manière facile et rapide de me faire de l'argent. Elle me proposa alors de coucher avec le revendeur qui n'était autre que le président d'une des confrérie de l'université près de chez moi. Toute la confrérie était en réalité un réseau très bien rodé, les bizut étant les guetteurs et chercheur de nouveau client, les membres, les dealers et les vice-présidents et présidents les fournisseur. Sous l'effet de manque elle aurait pu me faire faire n'importe quoi, j’acceptais donc un peu septique. Une fois à l'hîtel je n'avais pas prévu qu'ils puisse être plusieurs et que le président puisse tenté de s'amuser « avec moi » d'une telle manière et surtout de faire filmer le tout. Mais je vous rassure ça ne s'est pas passé comme ils l'avait prévu. Et ça c'est grâce à mon meilleur ami Keith qui arriva avant que tout ne se dégénère. Lui n'était pas dans le délire des drogues et autre, mais il m'avait promis de toujours veiller sur moi et c'est ce qu'il a toujours fait jusqu'ici. C'est lui qui empêcha ce vieux pervers de me faire ce qu'il voulait et qui s'occupa de moi pendant toute ma période de désintoxication, car j'avais refusé d'entrer dans un établissement spécialisé il a donc fait office d'infirmier d'aide psychologique pendant toute cette période là. Il m'appelait toutes les heures pour savoir si cela allait. Il venait à chaque fois que je l'appelais, tout ce dont j'avais besoin il faisait de son mieux pour me l'apporter. Il n'était pas le seul à avoir fais ça tous mes vrais amis ont tout fais pour que je sorte de cette enfer. Mais c'est celui qui m'a le plus marqué dans ses actes et ses pensées. Il m'avait même interdit de fréquenter à nouveau ce groupe de marginaux avec qui je traînais à l'époque. Et à chaque fois qu'ils tentaient de m'approcher un pic de colère le prenait d'un coup et il se sentait obliger de les remettre à leur place de la meilleur manière qu'il connaisse : la bagarre. Oui Keith et un grand bagarreur, mais seulement pour de bonne raison. C'est grâce à lui si je suis sortie de cet enfer. Je lui dois tout y compris la personne que je suis devenue. Après tout ça je me décidais de tout avouer à mes parents. Je ne vous cache pas qu'ils ont été énormément déçu . Il ne m'avaient pas élever avec ses notion là, pas avec cette mentalité là. Moi cette fille si parfaite à leur yeux et si gentille qui sans explication ce retrouva à devenir une débauchée droguée du jour au lendemain. Bien qu'ils s'en doutaient ils espéraient secrètement que ce ne sois pas le cas, en voyant la tristesse et la déception dans leur yeux je me jura de ne plus jamais retourné dans l'enfer de la drogue et de les rendre fière de moi.
Partie 6 : C'est partie pour une nouvelle vie !
« I'm gonna be everything I wanna be so I gonna be what I wanna be ».
Pour en revenir au présent, oui j'avais été acceptée à Harvard il y a 3 ans et nous avons fait une énorme fête à l'occasion, mais je vous avouerais que c'est dur pour ma mère de laisser « son bébé » faire ses premiers pas dans la vie sans elle et loin d'elle, car depuis peux nous vivons à Savannah, car mon père a repris une ferme un peu plus ranch que ferme d'ailleurs, qui était à vendre. C'est plutôt pas mal, car maintenant nous avons une grande maison cela change de notre petit T4 citadin de Philadelphie heureusement que mes petites sœurs/frères ne soient pas assez grand pour éprouver de la peine due au déménagement et moi maintenant que j'ai mon permis je peux tout de même aller voir mes amis malgré la distance. Et ça me permet de m'éloigner de tout mon mauvais passé. Donc nous n'avons a pas été totalement chamboulés par le changement de lieu et d'ambiance. Et puis c'est un des rêves de mon père donc on essai de lui faire plaisir maintenant on peut nous traiter de famille de fermier Yiha ! Bon je me calme.. De la à vous parler de ma famille autant vous les présenter vous les présenter, vous auriez pu me demander. Enfin bon alors au total nous sommes six. Il y a tout d'abord moi, ensuite Katelyn 13 ans, Sora-Ailani 10 ans, les jumeaux Adrian et Armando 6ans et Kye 28 mois. Et je suis heureuse de vous informer qu'un prochain est sur le point de rejoindre cette grande famille ! Malheureusement, ma mère veut garder le sexe de l'enfant secret. Je trouve ça nulle personnellement. Et je suis revenue cette année vivre la vie de fermière que je n'ai pas pu découvrir et surtout aider ma mère après avoir appris pour sa grossesse. Mais mes parents étant totalement contre le fait que j'arrête l'école malgré le fait que j'ai validé ma licence m'ont fait m'inscrire à la fac de Savannah dans la même section que ce que je faisais c'est à dire l'ingénierie en majeur et la littérature en mineur.